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| Sociologie par ys***11342 le
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Bonjour a tous.
J'ai besoin de votre aide. Je suis étudiant et j'effectue une recherche sur les rites sportifs, à savoir:
les attitudes libres et répétées de sportifs envers un adversaire ou un public et tous les signes visibles par un observateur. Je ferai par la suite une analyse comparative avec d'autres sports.
C'est pour cela que j'ai besoin de votre aide, car je n'ai malheureusement pas la possibilité de venir et d'assister à une rencontre d'un niveau professionnel. Je souhaiterai donc que vous me décriviez (le plus en détail possible) tous ce que les joueurs font qui n'a pas directement rapport au match (par ex:se serrer la main, quitter la table,etc.) surtout avant et après une rencontre.
Je vous en serai infiniment reconnaissant, ma recherche dépend de votre aide.
Merci d'avance.
Yves R.
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et pendant non, parce que pendant il y aurait encore plus à dire
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Comme dans tous les sports Ils attendent avec une grande impatience le chèque à la fin.
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un "truc" typique du monde des echecs c'est d'arriver en retard pour la partie. Même les forts joueurs le font. Impensable dans d'autres sports, aux échecs c'est considéré comme une tentative de gain psychologique ...
Quelqu'un peut développer sur ça je pense.
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Autres "trucs" pénibles .... jouer son coup juste après que son adversaire se soit levé,
être obligé d'adouber systématiquement après le coup de son adversaires,
C'est tout ce qui me vient rapidement à l'esprit.
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Observé ça et là Le fait de visser les pièces quand on croit avoit fait un bon coup.
Se plaindre du bruit quand on est mal ...
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Une lecture incontournable : Ethnologie des joueurs d'échecs. de Thierry Wendling, Ed PUF, 2002.
Tu devrais y trouver ton bonheur, particulièrement sur les "tics" et "manies" propres au milieu, les rites si tu préfères, bien mis en évidence dans ce travail remarquable, réalisé pour une thèse de doctorat en ethnologie.
L'auteur étant lui-même un joueur de très bon niveau et à ce titre familier de ce petit monde particulier.
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Ref. Olympien. Dans une perspective comparatiste, le retard à la table peut s'assimiler au jeu du dernier dans les starting-block pratiqué par certains sprinters (Gail Devers par exemple).
Pour l'après-partie il y a l'analyse post-mortem entre les deux compétiteurs, pour laquelle je ne vois pas d'équivalent dans les autres sports.
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ref yssy qd tu parles des "rites" tu veux discuter de koi? les heuristiques des joueurs,les rites inhérents aux règles?
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Pourrais-tu préciser la période qui t'intéresse car il y a des rites qui entourent les différents stades tels que:l'arrivée dans la salle,la prise de contact avec l'espace restreint ou se déroulera la partie,la prise de contact avec l'adversaire,la relation avec l'adversaire alors que les deux se font face à la table dans les instants précédents la partie,la partie,l'analyse post-mortem,la prise de congé de l'adversaire,la prise de congé des officiels,le départ de la salle,...
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la recherche sociologique cherche en effet de nouveaux penseurs. La classification des jeux ( R.Caillois ) et les travaux sur le jeux d'échecs ( L.Roos en médecine par exemple ) commencent à dater. Mais attention, aprés la difficulté de l'étude d'une population donnée, se trouve la difficulté de la comparaison avec une autre population-type ( le double-aveugle, c'est pas de la tarte!!)
Mais les sociologues ont atteint leurs limites, tout comme certains jeunes espoirs français!!
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Effectivement Les sociologues ont démontré,de même que les économistes non-croyants,que leurs limites auront finalement tôt fait d'être atteintes...
Bonne remarque de patrotop,qui malheureusement n'a pas participé à l'un des posts qui fait référence en matière de limites atteintes et/ou à atteindre.
En revanche,pour parler un peu de ce fil,une question me vient à l'esprit:Parle-t-on de tournois individuels ou par équipe.
Parce que dans le deuxième cas,les interactions sont largement démultipliées,de même que les rites,qui atteignent,eux aussi (décidément),les limites autorisées par les règles (du genre:petit coup d'oeil vers le partenaire qui passe innocemment en faisant planer sa main sur l'échiquier,et imperceptible approbation (ou pas) de la tête du partenaire en question...).
Bjr chez vous,
beggar,homme limité
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LeGritche moi, je mange des pates avant la partie.
Et je bois de l'eau pendant.
Sinon, je ne bois jamais d'eau, sauf à table, et je ne mange jamais de pates, sauf à table
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Manifestement ... on constate ici que la plupart ont atteint leurs limites concernant la lecture ! ;o)
Yssy vous a pourtant bien indiqué que ce qui l'intéresse est : "(le plus en détail possible) tout ce que les joueurs font qui n'a pas directement rapport au match (par ex:se serrer la main, quitter la table,etc.) surtout avant et après une rencontre."
En clair, les types de rapports sociaux, comportements, attitudes, codes de reconnaissance traduisant l'appartenance à la tribu des joueurs d'échecs en-dehors de ce qui se passe sur l'échiquier, et donc des règles proprement dites du jeu.
PS : Concernant les "limites", le comique de répétition y atteint sans aucun doute ses limites ! pffffff ! ;o)
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En tous les cas il ne serait pas inintéressant de faire un étude sociologique sur les participants à ce forum,dont je fais partie,à moins que ça ne relève du médical.
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limites je pense qu'en "pâtes", je n'ai pas encore atteind mes limites.je suis au-delà de 300gr.
Pour l'eau, le pb est plus délicat, parce qu'au delà d'une certaine limite, je suis obligé d'aller pisser après chaque coup, ce qui pourrait faire penser à mon adversaire que j'utilise Pocket Fritz. Je me suis donc fixé une limite à 1,5litre/par partie.
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Je crois que les rites le plus important pour le joueur d'echecs sont... Avant...Aller vite voir l'appariement, (elo du joueur, son age, contre qui il a perdu, qui il a gagné etc..).
Il pense comme ca pouvoir se rassurer et faire tomber un peu cette pression qu'il se met, mais le problème est que cela a l'effet inverse, il le sait, mais il recommencera à la ronde suivante.
Et après, c'est bien sur, donner son résultat si il gagne et raler si il perd :-)
En fait, on a l'impression que la personne a trouvé dans le jeu d'echecs un superbe outil pour exprimer son ego.
Il semble que même lorsqu'on joue une partie, tout ce qui importe est de bien manipuler cet outil pour satisfaire son ego (resultat) et il est vrai que cet outil fonctionne très bien.
Cela nuit dans cette magie que l'on ressent pour ce jeu, magie d'ailleurs qu'on ressent uniquement lorsque nous ne sommes pas impliqués (analyse d'une autre partie, étude etc..).
Cette magie disparait pour laisser place à notre égo lorsque nous sommes impliqués directement.
Je place une belle combinaison, je suis fier, c'est mon ego qui est stimulé, pas la magie du jeu.
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Par contre Je TROUVE une belle combinaison resultant d'une position qui ne sort pas de mes idées (analyse par exemple d'une partie de GM), c'est la magie qui est stimulé, pas son ego.
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je vérifie toujours que la table n'est pas bancale!!J'ai horreur de ça.
Contrairement à d'autres je suis ponctuel et je ne m'énerve pas du retard de l'adversaire.
Je soupèse toujours les pièces et garde longtemps un pion dans les mains.Il faut que la tête du Ca me revienne,idem pour le Roi mais avec les Stauton il n'y a pas de problème(sauf Ca "anglais" qui est abominable,il faudrait l'euthanasier!).
J'ai plutôt tendance à déposer lentement et sans brutalité les pièces que je bouge.
J'écoute toujours si la pendule fonctionne.
J'ai un stylo-fétiche.
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Quelques précisions... Bien que cela ait été rappelé par Yvap, re-voici néanmoins quelques précisons sur ce qui m’intéresse particulièrement :
« Tous les types de rapports sociaux, comportements, attitudes, codes de reconnaissance traduisant l'appartenance à la tribu des joueurs d'échecs en-dehors de ce qui se passe sur l'échiquier, et donc des règles proprement dites du jeu. »
N’hésitez pas à me décrire :
l'arrivée dans la salle, la prise de contact avec l'espace restreint, la prise de contact avec l'adversaire, la relation avec l'adversaire dans les instants précédents la partie, l'analyse post-mortem, la prise de congé de l'adversaire, la prise de congé des officiels, le départ de la salle, les tenues des joueurs, ...
Merci beaucoup déjà pour vos mulitiples réponses et svp ne vous arrêtez pas en si bon chemin :-)
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Yssy... il y a beaucoup à dire et je n'ai pas vraiment le temps de répondre. Mais suivant la région où tu habites il faudrait que tu envisages assister à un tournoi... Tu as déjà dû y penser...
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je m'y mets aussi alors Je vais faire un listing des détails que j'ai remarqués en un peu moins d'un an. Attention je vais essentiellement parler de "mes" comportements puisque c'est ce que je connais de mieux, si vous jugez que ce n'est pas intéressant (y compris yssy) ne lisez pas! :)BR>
- *tenue* moi: je m'habille normalement, aucun changement par rapport à d'habitude. Il y a des joueurs qui s'habillent (veste assorti/complet+talons+foulard assorti etc comme pour aller dans un resto chic) mais je crois que cela devient extrêmement rare surtout pour les hommes. Tenue plutôt décontracté pour la majorité des cas
- *arrivée* moi: quand je joue en équipe j'essaie d'être en avance, sinon j'y vais pile à l'heure car j'aime feuilleter un livre d'échecs jusqu'au dernier moment et l'idéal est que je plonge directement dans la partie sans avoir trop papoté avec des joueurs. Par contre dans le respect de l'adversaire, quel qu'il soit, je tâche de ne pas être en retard mais le retard éventuel de mon adversaire ne me perturbe pas (en plus ça me fait du temps en plus donc...).
Les autres: effectivement il y a pas mal de joueurs qui viennent en retard mais je pense que c'est aussi partiellement à ceuse de leur travail ou alors manque de rigueur, peut-être pas intentionnel?
- *arrivée bis* moi: je regarde l'appariement (sinon comment faire pour chercher sa place?), cherche des yeux ma table, regarde si mon adversaire est déjà arrivé, s'il est là j'y vais sans tarder et m'asseois en lui serrant la main (avec un sourire) même si la partie ne commence pas tout de suite et remplis ma feuille de tournoi. En général j'échange quelques mots. S'il n'est pas là je regarde de nouveau la liste des joueurs pour savoir à peu près le niveau général. Ensuite je vais m'asseoir, attends tranquillement. Je ne stresse pas. Pour les autres je ne sais pas, il y en a qui parlent beaucoup, d'autres qui restent assis, d'autres qui visitent tous les coins de la salle.
- *pendant la partie* moi: on me dit que je reste très calme même quand je suis mal sur l'échiquier, je pense que c'est dû au fait que je pars du principe que c'est assez normal que je perds (pas défaitiste mais j'accepte ma défaite) et qu'il faut surtout rester concentré. Les autres: je vois pas mal de gens qui traduisent leur tension par des tics, notamment bouger les pieds, tripoter une pièce ou son stylo (surtout celui qui est mal sur l'échiquier. C'est flagrant). Certains se lèvent régulièrement ou pas pour diverses raisons, d'autres restent assis durant toute la partie. Moi je ne mange pas et bois rarement, beaucoup de joueurs boivent beaucoup (bouteille d'eau, café, canettes).
-Ah oui, assez important je pense: l'observation de son adversaire pendant la partie. Déjà en général, une fois la partie commencée, on ne se regarde plus ou très rarement. Bien entendu tout se passe sur l'échiquier donc il n'est pas besoin de voir son adversaire. Je pense aussi que c'est une question de respect, on n'essaie pas de dévisager son adversaire sous peine d'être traîté de provocateur ou de destabilisateur, donc pas de défi en dehors de l'échiquier. Sinon, je trouve que parfois les tics (comme tripoter quelquechose ou faire des grimaces) sont gênants pour l'adversaire mais c'est toléré dans la limite de la décence puisque c'est quelquechose d'instinctif.
- *fin de la partie* moi: perte ou gain, je respecte l'adversaire. Je serre la main, on analyse si possible et après l'avoir quitté (cordialement mais assez rapidement, pareil pour les autres joueurs je pense, on repense beaucoup plus à la partie qu'à l'adversaire, ce qui est tout à fait normal) je retourne voir la liste des joueurs (une habitude), regarde qui joue encore dans la salle, me balade le nez en l'air puis je repars si je n'ai rien d'autre à faire. Je n'aime pas me presser de rentrer, je prends tout mon temps pour me dégourdir l'esprit. Les autres je ne sais pas ce qu'ils font mais je pense que c'est pareil.
- *appartenance* Je pense que c'est un monde assez étroit (pas péjoratif), comme dans toute discipline. Personnellement cela ne me gênerait pas de ne connaître personne dans un tournoi. C'est un sport où il n'y a aucun contact physique et où l'on est indépendant des autres même en tournoi en équipe vu que c'est seul le résultat qui sera mélangé. Il n'y a pas d'entre-aide ni de travail d'équipe pendant la partie (sauf quand on demande au capitaine pour la prise des risques, si on doit faire nulle etc). Sinon... en tout cas je ne me sens pas (et puis vu que je joue depuis assez peu de temps) appartenir à un monde spécifique. Déjà, contrairement à certains sportifs qui sont physiquement formés, les joueurs d'échecs n'ont aucun signe extérieur permettant de l'identifier comme tel; lorsqu'il réfléchit à une position, dès qu'il quitte l'échiquier et sort de la salle, comment savoir s'il est un simple penseur tombé là par hasard ou un maître d'échecs?
Je crois que j'ai dit ce qui me venait à l'esprit, je rajouterai si j'ai oublié quelque chose. J'espère que quelqu'un a tout lu? :)
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ref akiko:oui j'ai tout lu.Je crois que c'est un peu pareil pour tout le monde.
ref Pollymagoo:c 'est un peu de la provoc si c'est fait assez systematiquement non?Perso j 'apprecierai ce petit jeu moderement.
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ref Akiko J'ai lu ton post, et une chose a attiré mon attention:
"une fois la partie commencée, on ne se regarde plus ou très rarement"
Au contraire, je pense que la plupart des joueurs observent leur adversaire. Cela fait partie du le psychologie du jeu.
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et ne parlons pas de ceux.. qui chantent pendant leur partie:-)
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il m'arriver d'éplucher 3 kilos de patates pendant mes parties ... mais je reste correct et je ne me sers pas de la friteuse dans la salle de tournoi !
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J'ai faim et froid avant chaque match, j'ai toujours froid, pendant le match j'ai faim et j'ai soif, il me faut à boire absolument et si je pouvais passer à table ça serait un bonheur. Alors qu'avant le match, je n'ai ni faim ni soif! Pendant le match, j'ai hyper chaud, à la limite de la fièvre. Après le match, si j'ai perdu, je tombe malade, et il ne faut plus me parler. Si j'ai gagné, je reste à flâner au-dessus des autres échiquiers et je commente avec les autres, j'ai toujours plein de bonnes idées!
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ah bon Sagiro? Moi souvent,je ne regarde quasiment plus mon adversaire apres le début de partie
,çà pourrait me deconcenter; c 'est un peu comme s 'il n 'existait plus;
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Avant le match Je pose mes affaires dans un coin de la salle. ça me fait quelque chose à chercher du regard quand je quitte la table.
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Livre incontournable........... Mes recettes de patates sautées par karim tchokasov
Indispensable, pour ceux qui jouent en compétition.....:--)
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Réf karim tchokasov excellent!!!
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A propos de la tribu Un président de club du coin avais voulu faire porter à tout les jeunes un tee-shirt à l'effigie du club. Au bout de 2 ans il sont tous partis.
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Ref liamborough LOL de LOL²!! j'adore !! (enfin, excuse-moi si ce n'est pas très drôle pour toi...)
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pour la prise de contact il y a quelque chose d'amusant (enfin qui m'a toujours amusé) et que vous n'avez pas mentionné : on sert toujours trois fois la main de l'adversaire :
- la première fois, généralement, quand on arrive devant l'échiquier, un p'tit "bonjour" + serrage de main, on remplit la feuille de partie, puis on attend l'arbitre.
- la deuxième fois lorsque l'arbitre entonne "les noirs appuient sur la pendule", alors là, les noirs serrent la main AVANT d'appuyer sur la pendule et on se dit un "bonne partie" de politesse.
- Enfin, on se sert la main à la fin (accord tacite du résultat) soit pour signifier son abandon, soit pour l'accord tacite de la nulle.
en ce qui concerne l'appartenance à la tribu, en début de tournoi, c'est assez primaire :
on regarde tous la feuille des inscrits en cherchant des yeux les MI / GMI présents et en sussurant à son copain : "t'as vu, y'a xxx qui est là".
il n'y a pas de rite à spécialement parler.
avant la rencontre, c'est assez tendu en fait, on rigole pour décompresser, mais tout le monde a envie d'en découdre.
après la rencontre, généralement, il y a l'analyse qui n'est qu'une revue des idées de part et d'autres (donc très intéressant).
durant un tournoi, on ne peut pas dire que la camaraderie prime.
attention, néanmoins, il existe une très forte différence entre :
- un match d'équipes : assez cool et détendu
- un open sur une semaine (1 match par jour) : plutot cool
- un open 1hKO sur 2 jours ou semi-rapide 9 rondes sur une journées : tendu.
celà se ressent sur la sociabilité des joueurs car tous les joueurs n'aiment pas forcément le jeu en équipe
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... mais c'est quand même trop drôle ! loool
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ref hberger je raconte pas le nombre de bactérie échangées.
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ref hberger.. oh purée.. c'est dingue tout ce qu'on fait avant de débuter la partie:-))
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C'est completement fou :-)
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cf akiko Tout le monde n'est pas cuirassé comme ton pote emkine
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là tu a mis un gros blanc
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ajustement L'ajustement maniaque des pièces sur l'échiquier, même si elles sont déjà bien centrées, en les touchant toutes l'une après l'autre, y compris celles de l'adversaire s'il n'est pas la.
L'orientation des cavalier (manie très courante, concerne parfois aussi les fous): soit tournés vers l'aile roi, soit tournés vers le camp adverse. Les cavaliers qui se font face ou tournés vers l'aile dame sont plus rares.
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ref: PollyMagoo rappelle moi de pas te serrer la main après la partie !
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Une question... J'ai lu attentivement toutes vos réponses, merci beaucoup. J'ai néanmoins (encore) une question. Quelle est la proportion de femmes dans le milieu des échecs. Merci.
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Ref yssy Je crois savoir que c'est de 5%.
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