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| Quand les compositeurs n'avaient pas d'ordinateur ... par Ta***le*9631 le
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| Etudes | |
ils créaient parfois des études justes, basées sur idée juste tout en donnant une solution complement fausse.
L'étude de Prevorovsky (1939 - Les blancs jouent et gagnent, voir diagramme) en est un exemple :
Elle est donnée avec la solution 1.c7 Dc3 2.Cd5 De5+ 3.Rf2?? (Rh3 gagne) Db2+?? (Dh2+ annulle) 4.Rf3 Dc2 5.c8=D Dxc8 6.exd7+ Rxd7 Cb6+ gagne
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oui, mais c'est surtout dans la période 1880-1950 que les plus belles études ont été réalisées, et il n'y avait pas d'ordi!
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Qu'est-ce qui te fait dire ça, Petiteglise ? (je parle de la fourchette 1880-1950)
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en fait, ce sont les plus belles selons mes gouts càd peu de pièces, un joli thème, "pur"
comme le sont le plupart des études de Reti, Kubbel, Rinck, les frères Platov, Troitsky, Kasparyan (même s'il a composé aussi après), etc
Ils ont découvert la plupart des thèmes avec moins de 7/8 pièces, c'est pourquoi aujourd'hui,il est extrement difficile d'en composer
enfin, je sais pas trop, mes les études composées recemment ne me font pas autant "vibrer"...
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C'est une opinion généralement répandue... ...ce qui ne signifie pas qu'elle soit juste... Mais l'acte de naissance de l'étude "moderne" est à situer en 1895
quand Troitzky commencer à publier.
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