|
10000 h........ par Ga***lf*12310 le
[Aller à la fin] |
| Théorie | |
Bonjour à tous! En lisant le dernier livre de D TAmmet, notamment les quelques pages où il évoque les échecs, il me vient quelques questions.
Selon une étude du professeur Ericson de l'université de Floride, il faut une " pratique soutenue et systématique pour atteindre le plus haut niveau de performance dans quelque domaine que ce soit".
Il donne comme chiffre 10000h pour un virtuose pianiste.
Répondez à ces quelques questions:
1. A combien d'heures évaluez vous votre pratique?
2. Quel niveau( élo) avez vous atteint?
En ce qui me concerne:
Entre le jeu, analyses, bouquins, prépa , j'en suis à environ 2 à 3000h pour un niveau de 1800.
|
|
je pense pas qu'un joueur amateur puisse comparer c'est vrai, à notre niveau (je direr entre 1600 et 2200) on ne peux pas tracer de parallèle entre les heures passer à jouer au échecs et la progression (pour preuve moi qui joue depuis 10ans au échecs je suis 1920 alors que certain de mon club qui joue depuis 30ans, en club (qui s'entraine comme moi, et qui en plus, pour certain joue par corres...) sont moins bien classé)
c'est une évidence, plus on joue, plus on évolut mais pour des joueurs qui prennent les échecs pour une passion, qui les bossent peut-être 5 à 10h par semaine (la plus part du temps à joue dans nos club respectif) l'évolution n'est pas constante, elle dépendrai plus à mon sens de la préocupation du moment (boulot, famille...) du joueur tous ça pour dire, que pour nous le nombre d'heures passées aux échecs par rapport au classement va être trés aléatoire de joueur en joueur, mais pour un professionnel qui fait casiement que ça, je pense que l'on pourra tirer un parallèle, par exemple qu'il faut environ 4000h pour arriver à 2500 (chiffre vraiment prit au hasard)
|
|
il y a eu un article sur le site de chessbase là dessus http://www.chessbase.com/newsdetail.asp?newsid=5147
|
|
Je suis d'accord avec l'idée qu'il faille une pratique soutenue pour atteindre un niveau élevé. Mais après, tout dépend du potentiel de chacun (remarquez que je n'emploie pas le mot "don"). L'histoire des échecs nous rappelle que JR Capablanca avait "très peu étudié le jeu" et avait pourtant atteint les sommets. Après, ce n'est pas une question de quantité d'heures de travail mais plutôt une question de qualité de travail, c'est-à-dire d'efficacité.
|
|
c'est clair qu'on passe des periodes a laisser tomber les echecs et on regresse et donc le calcul des heures ne revele pas de rapport avec notre progression, ca depend de notre investissement et des periodes d'inactivite sabote la progression qu'on avait faite De plus bien que j'adore les chiffres et estimer et valoriser etc, la je trouve hyper dure de savoir combien d'heures j'ai passé aux echecs, je pourrais me tromper du simple au triple voir plus je sais pas lol mais ptet que certains savent bien
|
|
D'ailleurs, Quand on aime, on ne compte pas.....
|
|
c'est clair que ce n'est vraiment pas facile d'évaluer le nombre d'heures passées aux échecs... Ça fait 14 ans que je joue aux échecs, donc en estimant à 4-5 heures d'échecs par semaine (même si cette année je suis bien en dessous), ca fait à peu près 3000-3500 heures. Et je suis à 2400.
|
|
La psychologie a son mot à dire Il faut tenir compte de la psychologie de chacun qui aide ou freine dans la progression. Lorsque l'on se sent bien, on progresse rapidement alors que les événements négatifs de la vie influent forcément sur notre jeu.
N'oublions pas les différents moments de la vie qui nous rapprochent ou nous éloignent du jeu (examens, mariage ...).
Jeune, je me souviens d'un jeune joueur qui ne rêvait que d'être GMI alors que la France n'en avait pas encore. De nombreuses années plus, une fois devenu GMI, il n'est plus arrivé à progresser : manque de motivation ? difficulté à s'imaginé plus haut ? ... Comment savoir ?
|
|
|