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| Petit problème léger par atms le
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| Problèmes | |
Mat en deux coups. "Si ça serait une vraie partie, les Noirs, ils abandonnent" comme dirait mon fils.
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Ce qui confirme que manger du cheval c'est pas la chose à faire. Les pauvres bébêtes.
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La boucherie peut aussi ne pas être exclusivement chevaline.
Mat en 3 (S. Loyd, 1868).
8/8/8/4B1K1/8/6R1/4Bk2/6N1
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Idem.
Mat en 3 (H.-P. Rekas, date inconnue).
1B6/8/N1p5/k1p1P3/2P5/P2P4/1R6/1K6
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Oui, bien vu, le tableau de mat de la variante "principale" est le grand frère du mien.
Le problème de Loyd me laisse plus circonspect, une fois n'est pas coutume.
Merci pour ces références.
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Le problème de Loyd est plus difficile.
Pourquoi laisse-t-il atms circonspect ?
Est-ce à cause de la variante Re1 avec mat court ce qui est surprenant dans un problème de l'auteur ?
Je crois que, faute de pouvoir l'éviter, l'auteur a voulu minimiser cette variante en y laissant non pas un mais deux mats courts.
Les autres variantes sont très propres.
Anecdote pour atms :
Après la clé, le joueur des N aurait dit au R
"Je crois, sire, qu'on paie ma tête".
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qu'on s'paie évidemment, sinon ça ne marche pas.
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dans le Mat en 3 (S. Loyd, 1868) si l'on met le roi blanc en e4, plutôt qu'en g5, il y a toujours mat en trois! comme la clef seule empêche la fuite par 1...Re1? cette cette variante courte intègre le problème. Mais les mats utilisent moins les pièce et cela reste moins spectaculaire au final.
(il y a cependant un retour en boucherie chevaline :)
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@Torlof. Je ne comprends pas, avec le RB en e4, on perdrait la variante 1:..Re3 qui est essentielle.
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oui , mais on gagne la variante
1...Rg2 2.Ch3 Rh1 3.Ff3#
...qui est beaucoup moins belle, je le concède.
le problème de Loyd est superbe évidemment.
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Je n'aime pas la clef du Loyd (peut-être aussi parce que j'ai mis du temps à l'envisager et que je suis mauvais perdant ;) ).
Je préfère celle du Rekas (peut-être aussi parce que je l'ai vue tout de suite et que je suis mauvais gagnant ;) ).
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Que direz-vous alors du premier diagramme de cet article, également un 3# du grand oncle Sam.
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Torlof :
je ne comprends toujours pas.
Cette variante 1..Rg2 2:Ch3 Rh1 existe aussi dans le Loyd mais elle est accompagnée d'un mat sur 2:..Rxh3 qui disparaît si le RB est en e4.
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Erony : on se doute un peu, vu le contexte de la discussion.
Ça devient donc facile, mais problème certainement difficile et en tout cas très belle différenciation des variantes 2:..Fg2 et 2:..F ailleurs (h3par exemple).
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Oui, ce qu'on appellera plus tard correction des mouvements du Fou (2...F ad libitum "corrigé" par 2...Fg2) est déjà chez le grand Sam.
Autre chose : l'ignorance du monde du problème est parfois caricaturale. Ce matin, je vais par hasard sur un site médiatique allemand. Il y est question de gaffes en parties de tournoi, où le gaffeur se fait administrer un mat. Mais l'auteur ignore visiblement ce qu'il qualifie de "mat inverse", qu'il confond avec le mat aidé !!
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Probable, mais pas sur (que cet auteur ignore ces différences dans le monde du problème).
Pour ma part, j'ai effectivement découvert ce vocabulaire tardivement....sur ce forum ! ( Merci FE ! )
Mais je crois que le ''selfmate'' anglais est fréquent dans la littérature échiquéenne classique (hors composition), dans le sens auto-immolation, hara-kiri, etc... J'ai vu cela récemment sur le net dans Zhao Xue - Karjakin (2005) ou Tchigorin-Steinitz (1892). Mais c'est aussi dans plein de livres.
Peut-être que le monde du problème n'est pas propriétaire d'une expression qu'il n'a probablement pas inventée.
C'est d'ailleurs pareil pour plein d'autres mots ou expressions que nous utilisons tous les jours dans des sens plus ou moins différents.
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Remarquable le choix de Rekas en écho du thème du fil. Y compris dans le petit pas de danse final du fou.
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merci pour ces "légers" problèmes ! (1 heure environ pour les 3)
Pour le 2ème (variante Re3) j'ai sorti l'échiquier !
Quant à celui mis en lien par Erony , je vais le laisser mûrir ...
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