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j'avoue ne pas avoir trouvé la solution par "mes propres moyens" de ce problème dont je ne connais pas l'auteur, mais que j'ai découvert dans un recueil titré : Jeux d'antan XIXème siècle ...
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C'est un problème de Sam Loyd. La clé est assez "visuelle", après quoi il y a beaucoup de variantes.
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Un point technique pour résoudre un problème consiste d'abord à envisager la position avec le trait aux Noirs. Dans notre cas, la position apparemment chaotique du diagramme se simplifie.
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variantes : après le 1er coup blanc, je pense avoir compté 27 ! coups noirs qui mènent tous au mat ...
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Eh bien il faut s'arranger avec les mêmes variantes pour que le total ne fasse pas 27 et ne s'en approche même pas. Sinon le jeu d'échecs serait beaucoup trop compliqué.
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@Orouet, Dans une solution, il n'est pas toujours nécessaire de noté tous les coups noirs qui mènent au même mat. Après la clé, on notera tous les coups possibles du Fou noir ainsi: 1…Fe4/f3/g2/h1 comme coup unique donnant comme réponse: 2.Cb5#, on peut aussi noter l'arrivée du Fou en d5 donnant une réponse dualistique. Mais dans mon cas, je ne préfère pas noté ce genre de réponse peu esthétique.
On notera également tous les autre coups du Fou noir ainsi: 1…Fe8/d7/a4 comme coup unique en évitant de précisé l'arrivée du Fou en b5 pour les mêmes raisons données plus haut.
Ce genre de situation dans laquelle se retrouve le Fou noir, est appelé, par les compositeurs, Thème Focal. Une sorte de surcharge en quelque sorte.
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Effectivement Sluciano et Delobel, si on considère tous les coups possibles comme des variantes on a pas fini de réfléchir...
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trouvé en 5s grâce à bernard
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ce nombre 27 était anecdotique, il ne faut pas lui en vouloir !
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Merci Orouet pour cette invitation à la poésie...même si cela a un peu dérivé vers une discussion technique !
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En une demie seconde, un premier coup saute aux yeux.
Ô, miracle ( je plaisante...), après vérification, ça marche !
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Le conseil de Slucaino a bien fonctionné! merci du tuyau.
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J'ai noté. J'écris « é » à la fin lorsque je peux remplacer le participe passé par un verbe d'un autre groupe. (j'ai mis, j'ai fait, j'ai fini,...).
J'ai voulu noter. J'écris « er » lorsque je peux remplacer l'infinitif (verbe qui n'est pas conjugué) par celui d'un autre groupe. (j'ai voulu mettre, faire, finir,...) www.francaisfacile.com
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Par solidaritée, je croie que je vais commencé a écrir expré en fransais libre !
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Bien sûr Chemtov. Et ensuite tu apprendras à tes élèves à se faire mater en 5 ou 6 coups par solidarité avec ceux qui jouent mal. C'est bien connu, il faut toujours niveler par le bas.
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C'est bien là la différence. Les gens à qui l'on s'adresse ne sont pas nos élèves ! A chacun sa place, sa vie, sa liberté de faire.
Te viendrait-il à l'esprit, lorsque tu parles à quelqu'un, de corriger son français ?
Non. Cela s'appelle du savoir-vivre ( dans le double sens, celui de la politesse et celui de vivre en commun ).
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il faut pousser par le bas (quite à emmerder l'élite qui ,de toute manière, se débrouillera seule ) plutôt que de tirer par le haut (où l'on risque de perdre les 3/4 du troupeau )
Orouet (berger d'occasion ...)
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