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Positions dans lesquelles on se sent bien par Pi***d*1925 le  [Aller à la fin] | Théorie |
Il arrive parfois que nous ayons l'impression d'être très à l'aise dans une position : plans clairs, points forts, points faibles, visions des menaces réciproques, constructions de combinaison, etc...
Et cela n'est pas démenti par la suite de la partie ou des analyses à froid
Un axe de progrès ne serait-il pas d'essayer de se retrouver le plus souvent possible dans ce genre de situation que l'on comprend?
Evidemment, c'est plus facile à dire qu'à faire!
Le choix de l'ouverture joue évidemment un rôle


DDTM, le
Le veritable axe de progrès est au contraire de sortir de sa zone de confort pour aller sur des terrains moins connus au debut .. pour augmenter notre comprehension du jeu. Au final, il y aurait de plus en plus de situation ou nous aurons l'impression d'être très à l'aise et nous nous retrouverons plus souvent dans ce genre de situation que l'on comprend


@DDTM
Merci de ta remarque que je trouve après réflexion très pertinente.
Je compare cela au gars très musclé qui va faire un sport de force, au maigrichon qui va faire de la course d'endurance, alors que, pour être un homme équilibré, cela devrait être tout le contraire.
Il faut travailler ses points faibles, c'est là que sont les grandes sources de progrès, bien sur sans pour autant laisser tomber ses points forts


Le gringalet ne deviendra jamais sumo et Musclor ne deviendra pas davantage coureur de fond.
Le point de vue de ton poste est intéressant, Picard.
"Commençons par corriger nos défauts"... c'est trop souvent la devise du progrès.
Approfondir son jeu en misant sur ses forces, parfaire son répertoire pour se retrouver dans des positions qu'on sent bien, améliorer la compréhension des finales dans lesquelles on aime se retrouver, étudier les simplifications permettant d'y accéder, ruminer les combinaisons, miniatures et schémas stratégiques typiques de nos ouvertures préférées, etc.... n'est-ce pas finalement au contraire le meilleur moyen de s'accomplir pleinement sur les 64 cases ?
La dimension plaisir n'est-elle pas un pilier de la pédagogie ?
Hegel n'écrivait-il pas "Rien de grand ne se fait sans passion" ?

Un passionné d'histoire doit-il attendre d'avoir comblé ses lacunes en mathématiques pour dévorer ses romans historiques ?
Un calculateur prodige doit-il travailler son orthographe avant de se lancer dans l'étude la la théorie des nombres ?
Un ......
non, j'arrête.




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